Chambre

Dans la chambre j’ai envie de parler du jardin, en bas. Assis on s’y perd dejà. Limites improbables. Quartiers perdus. Arabes? Andalous?… Méditerranée.

La lumière filtre des persiennes et file le long du trait de miroirs, aussi fulgurante qu’ un éclat s’ur I’eau bleue, aussi sensuelle que des taches de Soleil à l’ombre d’un feuillage. Phoenix, cet autre nom du Soleil.

La chambre comme cartel botanique du Palmier. Point d’appel sur le jardin, lumineux dans la fenêtre, Phoenix est la première dérive du regard. Phoenix canariensis. Et puisque la chambre est ce lieu où se vivent les « petites morts » le Phoenix sera aussi I’ Oiseau égyptien qui renaît de ses cendres.

Le Soleil, le Palmier, I’ Oiseau. Qui est le Phoenix ? Qui est le roi qui s ‘élève à cette Hauteur ?

« La Chambre du Phoenix » est celle de celui qui la demande.

Henri Olivier

Dans la chambre j’ai envie de parler du jardin, en bas. Assis on s’y perd dejà. Limites improbables. Quartiers perdus. Arabes? Andalous?… Méditerranée.

La lumière filtre des persiennes et file le long du trait de miroirs, aussi fulgurante qu’ un éclat s’ur I’eau bleue, aussi sensuelle que des taches de Soleil à l’ombre d’un feuillage. Phoenix, cet autre nom du Soleil.

La chambre comme cartel botanique du Palmier. Point d’appel sur le jardin, lumineux dans la fenêtre, Phoenix est la première dérive du regard. Phoenix canariensis. Et puisque la chambre est ce lieu où se vivent les « petites morts » le Phoenix sera aussi I’ Oiseau égyptien qui renaît de ses cendres.

Le Soleil, le Palmier, I’ Oiseau. Qui est le Phoenix ? Qui est le roi qui s ‘élève à cette Hauteur ?

« La Chambre du Phoenix » est celle de celui qui la demande.

Henri Olivier

Dans la chambre j’ai envie de parler du jardin, en bas. Assis on s’y perd dejà. Limites improbables. Quartiers perdus. Arabes? Andalous?… Méditerranée.

La lumière filtre des persiennes et file le long du trait de miroirs, aussi fulgurante qu’ un éclat s’ur I’eau bleue, aussi sensuelle que des taches de Soleil à l’ombre d’un feuillage. Phoenix, cet autre nom du Soleil.

La chambre comme cartel botanique du Palmier. Point d’appel sur le jardin, lumineux dans la fenêtre, Phoenix est la première dérive du regard. Phoenix canariensis. Et puisque la chambre est ce lieu où se vivent les « petites morts » le Phoenix sera aussi I’ Oiseau égyptien qui renaît de ses cendres.

Le Soleil, le Palmier, I’ Oiseau. Qui est le Phoenix ? Qui est le roi qui s ‘élève à cette Hauteur ?

« La Chambre du Phoenix » est celle de celui qui la demande.

Henri Olivier

Dans la chambre j’ai envie de parler du jardin, en bas. Assis on s’y perd dejà. Limites improbables. Quartiers perdus. Arabes? Andalous?… Méditerranée.

La lumière filtre des persiennes et file le long du trait de miroirs, aussi fulgurante qu’ un éclat s’ur I’eau bleue, aussi sensuelle que des taches de Soleil à l’ombre d’un feuillage. Phoenix, cet autre nom du Soleil.

La chambre comme cartel botanique du Palmier. Point d’appel sur le jardin, lumineux dans la fenêtre, Phoenix est la première dérive du regard. Phoenix canariensis. Et puisque la chambre est ce lieu où se vivent les « petites morts » le Phoenix sera aussi I’ Oiseau égyptien qui renaît de ses cendres.

Le Soleil, le Palmier, I’ Oiseau. Qui est le Phoenix ? Qui est le roi qui s ‘élève à cette Hauteur ?

« La Chambre du Phoenix » est celle de celui qui la demande.

Henri Olivier

Faire :

Une chambre Simple et pratique qui prolongerait à l’heure crépusculaire l’améthyste céleste l’argent chatoyant des oliviers l’odeur des fleurs d’oranger dans la chaleur câline d’une inoubliable soirée d’été

Une chambre Délicate comme une aquarelle de P. CézanneUne chambre Belle comme une peinture de H. Matisse

Une chambre intelligente comme une idée de M. Duchamp

Une chambre Rigoureuse comme une peinture de B. Newman

Une chambre Drôle comme un coucou de P. Mayaux

Une chambre Exquise comme une nuit sans cauchemar

Une chambre Elégante comme une nuit d’amour sans fantôme

Une chambre de Rêve pour des nuits heureuses

Si Evo Morales et Hugo Chavez choisissaient un jour Nice

Le Windsor et la chambre 74 pour conjuguer ESPOIR

Noël Dolla 05/01/2007

J’ai rencontré Redolfi à une exposition de la galerie Catherine lssert, à Saint Paul de Vence, dans l’arrière-saison. Au milieu de quelques rares connaissances venues en voisin, il parlait sans doute depuis quelques instants quand un détail jeté dans la conversation me rendit attentif.

Liberté complète de faire une œuvre d’art dans l’une des chambres de l’hôtel Windsor, hôtel dont il était l’heureux propriétaire.

L’illumination me vint à ce rapport du blanc et du bleu de lessive Matissien. Pour le patriarche, la chambre fut à la fin de sa vie très importante. Sardanapale domestique c’est de son lit qu’il dirigea tout son monde, les petites mains comme les petites fesses de ses égéries montées sur des escabeaux pour punaiser aux murs ses beaux papiers de couleurs découpés. Je pensais aussi qu’après le bleu Matisse et le bleu Klein il ne restait plus pour un peintre de passage à Nice comme moi qu’à postuler pour le  » bleu touareg « . J’y ai quelques raisons puisque les deux figures peintes ici sont les répliques de deux autres que j’ai utilisées pour les peintures murales et vidéo des cellules de Fort de l’île Sainte Marguerite, où vous vous rendrez si le tableau de votre chambre a réussi à vous faire entrer dans mon jeu de piste.

Jean Le Gac.

J’ai rencontré Redolfi à une exposition de la galerie Catherine lssert, à Saint Paul de Vence, dans l’arrière-saison. Au milieu de quelques rares connaissances venues en voisin, il parlait sans doute depuis quelques instants quand un détail jeté dans la conversation me rendit attentif.

Liberté complète de faire une œuvre d’art dans l’une des chambres de l’hôtel Windsor, hôtel dont il était l’heureux propriétaire.

L’illumination me vint à ce rapport du blanc et du bleu de lessive Matissien. Pour le patriarche, la chambre fut à la fin de sa vie très importante. Sardanapale domestique c’est de son lit qu’il dirigea tout son monde, les petites mains comme les petites fesses de ses égéries montées sur des escabeaux pour punaiser aux murs ses beaux papiers de couleurs découpés. Je pensais aussi qu’après le bleu Matisse et le bleu Klein il ne restait plus pour un peintre de passage à Nice comme moi qu’à postuler pour le  » bleu touareg « . J’y ai quelques raisons puisque les deux figures peintes ici sont les répliques de deux autres que j’ai utilisées pour les peintures murales et vidéo des cellules de Fort de l’île Sainte Marguerite, où vous vous rendrez si le tableau de votre chambre a réussi à vous faire entrer dans mon jeu de piste.

Jean Le Gac.

J’ai rencontré Redolfi à une exposition de la galerie Catherine lssert, à Saint Paul de Vence, dans l’arrière-saison. Au milieu de quelques rares connaissances venues en voisin, il parlait sans doute depuis quelques instants quand un détail jeté dans la conversation me rendit attentif.

Liberté complète de faire une œuvre d’art dans l’une des chambres de l’hôtel Windsor, hôtel dont il était l’heureux propriétaire.

L’illumination me vint à ce rapport du blanc et du bleu de lessive Matissien. Pour le patriarche, la chambre fut à la fin de sa vie très importante. Sardanapale domestique c’est de son lit qu’il dirigea tout son monde, les petites mains comme les petites fesses de ses égéries montées sur des escabeaux pour punaiser aux murs ses beaux papiers de couleurs découpés. Je pensais aussi qu’après le bleu Matisse et le bleu Klein il ne restait plus pour un peintre de passage à Nice comme moi qu’à postuler pour le  » bleu touareg « . J’y ai quelques raisons puisque les deux figures peintes ici sont les répliques de deux autres que j’ai utilisées pour les peintures murales et vidéo des cellules de Fort de l’île Sainte Marguerite, où vous vous rendrez si le tableau de votre chambre a réussi à vous faire entrer dans mon jeu de piste.

Jean Le Gac.