Artistes:
Simon Berard, Fabien Boitard, Jérémy Griffaud, Julien Griffaud, Aïcha Hamu, Laurent Perbos, Nicolas Rubinstein, Quentin Spohn, Anna Tomaszewski, Caroline Trucco
Depuis le XVIème siècle, la tradition du paysage est dominée par des représentations qui oscillent entre idéalisme et sublimation du réel. Il est évident qu’en arpentant nos territoires la réalité est souvent bien moins romantique que dans une peinture de Le Lorrain par exemple. Bucolique ou presque s’intéresse précisément au décalage qui peut exister entre ce réel et ce qui est donné à voir. Il s’agit dès lors de prendre un peu distance avec certaines conventions, pour en proposer des alternatives aussi bien formelles que substantielles. Et s’il n’est question ici ni de Virgile ni d’André Chénier, il demeure malgré tout une certaine idée de la nature que nous espérons non dénuée de poésie…
Cette exposition s’inscrit dans « Des Marches, démarches » une exposition organisée par le FRAC PACA.
Jean Dupuy 2018
Looping – Exposition Jean Dupuy
Jean Dupuy est mis à l’honneur dans le lobby de l’hôtel Windsor. A cette occasion l’artiste nonagénaire, figure artistique incontournable de la scène niçoise, présente pour la première fois sa “collection timbrée”, hommage qu’il rend à son éditeur et ami Francesco Conz. De cette série de portraits fluxus, répond un ensemble d’objets et d’anagrammes marqués par le temps.
Exposition Emma Picard 2018
L’hôtel Windsor, dans son écrin de verdure au cœur de la cité, était le lieu idéal pour clore un cycle de travail de 4 ans pendant lequel Emma Picard a, entre autres, mis en exergue le potentiel poétique, léger, presque virtuel, mais grave de cette matière rare que sont les feuilles-nervures. 2014 : Début des commémorations de 1914-1918, et la guerre fait rage en Syrie. Emma Picard commence à se réapproprier un des aspects de « l’art des poilus », consistant à évider les feuilles jusqu’aux nervures, et éventuellement à percer des messages intimes dedans. Avec des réfugiées syriennes à Paris, grâce au langage universel de la couture, elles recréent des architectures détruites de la ville d’Alep en une dentelle de feuilles-nervures. 2018 : ultime année de commémoration de la 1ère guerre mondiale ; dernière année de la 3ème guerre mondiale en Syrie ? La dentelle de feuilles-nervures est percée d’écritures, de prénoms syriens écrit en lettres latines ou en arabe. A visiter la fleur au fusil, mais avec légèreté.
L’œuvre d’Emma Picard, divers dans les media utilisés, donne à voir une orientation vers la «sculpture sociale», qui mêle une esthétique wabi sabi de l’éphémère et du fragile, à un esprit partageur hérité de Fluxus. Elle a créé un nouveau matériau – une dentelle de feuilles-nervures naturelles- pour associer à ses sculptures le langage universel de la couture, d’abord avec des artisanes marocaines pour « Puisque tout passe », puis avec des réfugiées syriennes à Paris pour «Alep était florissante». La même recherche d’expérience partagée de l’art-se-faisant anime la série de portraits Mandalas 3D, littérale plongée du sujet dans un bain de pigments, associée avec un voyage partagé à la source de provenance de ces terres colorées (Kassel, Venise, Chypre…).
En 2018 commence aussi un nouveau cycle de sculpture-partagée avec des abeilles, Emma devient l’artiste ayant le plus d’assistant.e.s au monde (40000), et leur travail commun sera présenté en seconde stance, début juin.
Exposition Pierrick Sorin 2017
C’est avec grand plaisir que nous retrouvons les grands classiques de Pierrick Sorin à savoir le déguisement, le comique de répétition et le gag de music-hall, dans une série de six théâtres optiques, ainsi que des visuels préparatoires accompagnés de textes.
au Festival des Jardins les 1er et dernier week-end d’avril, le samedi et dimanche de 15h à 19h
et aux Visiteurs du Soir le vendrdei 2 et le samedi 3 juin + d’infos à venir
Show me the way… 2017
de début février 2017 à fin juin 2017
dans le cadre du festival Easter In The Sun (14 au 17 avril 2017), en référence à la célèbre chanson Alabama song de Kurt Weill et Bertolt Brecht, reprise avec succès par The DOORS, «Show me the way… » explore la relation qui existe entre l’hôtel et la musique, que cela soit à travers la chambre d’hôtel, le motel ou encore le bar.
Festival OVNi 2016
OVNi, est un festival d’Art Video dont la deuxième édition s’est tenue du 2 au 4 décembre 2016 dans l’enceinte de l’hôtel Windsor, un événement parrainé par Pascal Neveux en 2016, directeur du FRAC PACA. Cet événement ouvert à tous, favorise la diffusion de la vidéo d’art auprès du public. Une vingtaine de Musées et Centres d’art sont regroupés à l’hôtel pour proposer d’apprécier ce médium dans le contexte à la fois insolite et intime qu’offre une chambre d’hôtel. + d’infos
Exposition Nicolas Rubinstein « Bar Barrit » 2016
Exposition dans le bar de l’hôtel
Un éléphant rose qui barrit au milieu des bouteilles volantes, le souvenir de Dumbo et de cuites mémorables, une envolée fantastique entre ivresse et réalité… En résonance avec l’exposition « Desseins » de Nicolas Rubinstein à la Villa Tamaris jusqu’au 12 février 2017.
Exposition Noël Dolla 2016
Noël Dolla construit avec constance une œuvre qui investit la peinture comme un champ d’expérimentation. La peinture, sa matérialité, ses modes d’apparition, de présentation, le support, la toile, la surface, le champ coloré… Il remet en jeu, fait tomber les dogmes, ré-interroge sans cesse les certitudes qui fondent le projet pictural dans l’histoire de l’art. Tels sont les enjeux qui se donnent à voir avec force dans ce travail en perpétuel mouvement.
Exposition Alaleh Alamir « Brèves en Suite » 2015
Dans le cadre des visiteurs du soir…
EXPO-EVENEMENT
« brèves en Suite »
En résonance avec l’exposition « Art’n food » à l’espace muséal de Tourettes-sur-loup
Du 20 Mai 2015 jusqu’en Novembre 2015 à l’hôtel Windsor..
Alaleh Alamir est une artiste d’origine iranienne qui vient d’un milieu multiculturel. Elle a obtenu son diplôme en Arts de Reed College (Oregon), une maîtrise en Beaux-Arts de la Parsons School of Design (New York) et elle a ensuite entrepris une thèse en rapport avec la perception des couleurs pour un doctorat en Peinture dans le New York University. Elle est membre élue de la Royal British Society of Sculptors et elle a exposé à la Royal Academy summer exhibition, Magic of Persia Dubai ainsi que dans des foires telles que Arts Libris, Estampa et Artist Book international.
S’étant immergée dans les cultures de nombreux pays où elle a vécu, elle parle couramment plusieurs langues et dans sa pratique artistique, elle a été amenée à rechercher une synthèse de traditions très différentes. En effet, pour mieux comprendre sa démarche il est important de savoir que depuis sa tendre enfance Alaleh recherche des correspondances culturelles. Au fil des années elle a exploré de nombreux supports mais loin d’être fragmenté l’ensemble de son oeuvre s’efforce toujours de traiter de sa démarche intérieure dans une dimension qui lui est propre.
L’une de ses sources d’inspiration préférée demeure la Nature et cela reste évident dans la plupart de ses projets . Alaleh est surtout connue pour se »s installations at sa maîtrise de la gravure et du dessin qu’elle présente souvent dans des séries. Sa pratique vise à véhiculer avant tout une honnêteté intellectuelle tout en conservant une dimension lyrique.
En vue de son exposition « brèves en Suite » elle présente une sélection d’éléments tirés de sa grande installation « Ark of Hesperides ». Les Hespérides (baghe hoorian-e ferdows) est un concept qu’elle explore et décline depuis de nombreuses années. Au départ le concept du jardin lui vient d’un thème central dans tous les aspects de sa culture persane, auquel elle a conjugué celui de « hoorian-e beheshti » (les nymphes du paradis), pour ensuite s’apercevoir que la même notion existait dans la tradition européenne en tant que « Jardin des Hespérides ».
In fine, le jardin d’Alaleh est une aspiration mystique, un concept et une vision poétique.
Mai 2015
Exposition KKF : Les fleurs des mâles 2015
Exposition Février 2015 – Décembre 2015
Les artistes du connectif KKF, invités par l’Hôtel WindsoR et inspirés par son insoupçonnable jardin, proposent la construction globale d’un univers végétal fictif, habité de sculptures et d’assemblages qui les caractérisent.
Cette installation originale, composée de six pièces, dont quatre grands formats créés spécifiquement pour le lieu, se veut un hymne à la Nature, à la Création et plus généralement à la féminité. Elle interroge avec l’humour caractéristique du KKF les rapports masculin – féminin.
Elle rend aussi hommage au temps nécessaire à l’éclosion, tant végétale qu’artistique.
Avec cette exposition présentée dans l’entrée et le hall du Windsor, les artistes ont souhaité inviter le visiteur à devenir promeneur de son jardin et choisi de laisser l’esprit du flâneur voyager entre imaginaire et interprétation.
Exposition Cynthia Lemesle et Jean-Philippe Roubaud 2014
Fenêtres sur… les oiseaux
2014
« Fenêtre sur…les oiseaux »
Exposition Novembre 2013 – Octobre 2014
Longtemps Cynthia Lemesle et Jean-Philippe Roubaud ont échangé recettes de « cuisine » et propos théoriques sur leur pratique respective dans l’espace d’un atelier partagé. De cette proximité de la main et de l’esprit est née l’évidente nécessité de réunir leurs singularités en cosignant un prolifique travail. Il serait vain de chercher à savoir qui fait quoi dans cette entreprise, ils fabriquent à quatre mains de surprenants objets qui recyclent sans vergogne, de long en large et du haut vers le bas, la longue et fructueuse histoire de la représentation : en gros, des mythes antiques à nos modernes écrans d’ordinateurs en passant par les primitifs flamands. Nul ne s’étonnera de voir à travers cette débauche de références les époques et les styles se télescoper.
Dans ce désordre baroque et festif, tous les coups sont permis : le pattern painting fait irruption dans les planches ornithologiques d’Audubon, le crochet de grand-mère se prend pour la masse du sculpteur, Narcisse s’incarne en poule d’eau, and so on. Au pays de la déconstruction, la mimesis fait encore la loi : ici, l’impression numérique, la taxidermie, le point de bullion tendent à faire motif au même titre que le mille fiori en son temps. Jouant de la coexistence des divers systèmes de représentations de l’histoire de l’art occidental, Cynthia Lemesle et Jean-Philippe Roubaud ne renoncent à rien.
De la figuration et de l’abstraction, de la peinture et du ready made, ils gardent le meilleur, misant sur l’impureté et l’hybridation d’une culture qui arbore la toute-puissance de l’image picturale.
Exposition Marcel Bataillard « Point de Vue », Un parcours à l’Hôtel WindsoR 2013
À la demande de l’hôtel, Marcel Bataillard qui travaille depuis longtemps autour de la figure du peintre aveugle, a conçu un parcours destiné aux non-voyants, et aussi aux voyants. Intitulé Point de vue, ce parcours est constitué d’une dizaine d’aphorismes, qui se laissent découvrir au hasard des déambulations dans l’hôtel. Ces textes évoquent tour à tour ou simultanément la vision, le toucher, la nuit, l’image. Le voyant et l’aveugle devront dialoguer pour y voir plus clair et feront donc bien, pour une fois, de se fier aux ouï-dire.
Exposition Gilbert Pedinielli invite M.M. au bar du WindsoR 2012
Exposition « Gilbert invite M.M. au bar du WindsoR » 2013
Prises de vue réalisées sur des documentaires consacrés à M.M. qui sont passés à la télé pendant une période de 5 années.
« J’essaye de fixer l’image de la fraction de seconde où la séquence passe d’une scène à l’autre. Se dévoilent alors 2 images. »
Le hasard et la patience révèlent peu à peu la schizophrénie de la vedette. Série de 14 photos, impression sur toile 70 X 70. Tirées à 2 exemplaires.
Exposition Mauro Benetti « Nouvelle Floraison » 2013
Octobre 2012 – Novembre 2013
Mauro Benetti a investit le hall et le jardin pour la saison 2013. Cet artiste originaire d’Italie fabrique des images poétiques et sensorielles : La Luna dans le jardin, qui fait à présent partie de la collection permanente de l’hôtel, produit une émotion physique : celle d’une lumière profonde, symbole de mystère et de romance.
Pour le hall, Mauro a travaillé autour de l’image d’un fauteuil : photographie monumentale au dessus du trône, moitié d’objet dans un miroir… En jouant avec la représentation, il pose la question d’une réalité cachée, intérieure et bouillonnante. Un « dos » et un « dossier » qui parlent de mémoire: « J’aime l’idée du fauteuil où l’on peut conter son histoire, le fauteuil qui nous soutient ; nous avons besoin de ses jambes et ces jambes s’approprient les contes,
elles deviennent des colonnes qui délimitent le vide, lui donnant une valeur bien précise, un espace où l’on peut entrer. (…) L’idée de la Lune sur la toile est du même ordre : entrevue de loin, vécue dans un seul instant d’intuition, un point lumineux, la conscience de la partialité, de la corporéité, une source de lumière qui capture le regard. » – Mauro Benetti.
Exposition Élodie Lecat « Check In » 2012
avec la participation de Guy Rottier (Oct 2011 – Oct 2012)
Puisé dans un contexte familier et tout proche de leur installation, l’ensemble des images de Check In nous invite à nous laisser prendre par le jardin de l’hôtel et à l’observer faire sa place dans le hall dans un transport intérieurement et extérieurement brouillé.
Le petit devient grand, les objets se déplacent, la lumière et les plantes parviennent à nous troubler, mais tout cela ne nous éloigne pas de l’invitation qui nous est faite. Car au-delà de la ballade, Check In nous parle autant de l’importance à être fascinée par une certaine nature, que d’une façon d’évoquer
ce qui s’y passe par-delà, à travers elle. Cette part d’invisible qui tend vers la surprise et vers la possibilité de se déplacer dans toutes dimensions à partir de ce qui nous entoure.
Les oiseaux de Guy Rottier virevoltent dans le hall avec humour.
Exposition Ben « Suspense au Windsor » 2011
Exposition Ben Octobre 2010 – Octobre 2011
Vidéo du vernissage de l’exposition de Ben au WindsoR, 17 février 2011 :
Exposition Aicha Hamu 2009
Exposition Cédric Teisseire avec la participation de Smarin, « Nadir » 2008
Miguel Chevalier, sans titre, 2008
Œuvre éphémère et unique produite pour le premier site de l'Hôtel Windsor
Œuvres Permanentes
Aviara Camera, par Cynthia Lemesle et Jean-Philippe Roubaud, 2014
Nouvelle cage aux oiseaux, inaugurée le 31 mai 2014.
Le bar est ouvert 24h/24. Une installation de Nicolas Rubinstein « Bar barrit » vous transportera dans l’univers de Dumbo revisité par l’artiste.
WindsoR Fluo installation d’Eric Michel, 2011
J’ai imaginé, pour accompagner ce lieu emblématique dans le troisième millénaire, deux monochromes de lumière qui garderont l’entrée, tels deux sculptures au seuil d’un temple zen, un seuil frontière entre le matériel et l’immatériel. L’hôtel est un lieu de vie, de rencontre, et l’art est ici son habit de lumière. Comme le disait Yves Klein :
«l’art, c’est la vie». (Eric Michel 2011)
La Luna installation de Mauro Benetti, 2012
Instants de magie et de mystère la nuit autour de la piscine du jardin.
Point de vue, un parcours de Marcel Bataillard
À la demande de l’Hôtel WindsoR, Marcel Bataillard, qui depuis longtemps travaille autour de la figure du peintre aveugle, a conçu un parcours destiné aux non-voyants… Et aussi aux hyper-voyants.
Intitulé Point de vue, ce parcours est constitué d’une douzaine d’aphorismes qui se laissent découvrir au hasard des déambulations. Répartis dans différents lieux-clés de l’hôtel et présentés conjointement en braille et sous forme typographique, ces textes évoquent tour à tour ou simultanément la vision, le toucher, la nuit, l’image. Ultime pirouette, l’un de ces aphorismes, jouant de l’écart entre le son et l’écrit, propose deux versions légèrement différentes d’une même formule selon que l’on obéit au doigt ou à l’œil. Le voyant et l’aveugle devront dialoguer pour y voir plus clair et feront donc bien, pour une fois, de se fier aux ouï-dire.
Oeuvre d’Ultra Violet dans l’ascenseur, avec une installation sonore en toute élévation, 1998
Ascenseur créé en 1998 à l’Hôtel WindsoR à Nice, par l’artiste Ultra Violet.
Ayant rêvé que j’ascensionnais au ciel, la sensation d’anti-pesanteur me produit une exubérance.
Je veux que tous les passagers ressentent l’élévation de leur corps et âme, en similitude de la fusée de la NASA qui s’élève dans l’atmosphère à la conquête de nouveaux espoirs et espaces.
« L’Ange-à-réaction » qui décore et accueille les ascensionnistes, simule par sa fusée, un embarquement pour « Cythère ».
Le count down : 6, 5, 4, 3, 2, 1, précédant le « up lifting », conditionne les clients de l’Hôtel WindsoR à une expérience ultra terrestre.
Interview de Ben dans sa maison de Nice. Février 2011.
Photos de la chambre 65, de l’Hôtel WindsoR - crédits : Pauline Payen.
Film et montage : Pauline Payen pour l’hôtel Windsor.
Réalisé sans trucage
Aïcha Hamu
Interview en février 2011 dans sa chambre de l'Hôtel WindsoR. Chambre 31.
Montage et réalisation : Pauline Payen Crédits photos : David Huguenin (Installation au Château d'Avignon en Camargue) et Pauline Payen (Chambre 31 au Windsor) - Extrait de film: "Dreams That Money Can Buy" de Hans Richter.
Gottfried Honegger
A propos de la chambre 78 réalisée à l’Hôtel WindsoR à Nice en 199?,
Interview dans son atelier de Zurich. Janvier 2013.
Interview originale et montage réalisés par Pauline Payen pour l’Hôtel WindsoR.
Photos de l'Espace de l'Art Concret à Mouans-Sartoux - crédits photos:
Chiappacan, EAC / Stéphanie Grillo, François Fernandez.
Photos de la chambre 78 à l’Hôtel WindsoR - crédits photos : Pauline Payen.
François Morellet
Interview de François Morellet dans sa maison et atelier a Cholet. Novembre 2011.
Interview originale et montage réalisés par Pauline Payen pour l’Hôtel WindsoR.
Photos de la chambre 59 de l'Hôtel WindsoR - crédits photos: Pauline Payen.
Olivier Mosset
Interview à Paris. Décembre 2011.
Photos de la chambre 62 de l’Hôtel WindsoR - crédit : Chrisitine Basler.
Interview originale et montage : Pauline Payen pour l’Hôtel WindsoR.
Claude Rutault
Interview à son domicile, Novembre 2011.
Montage et réalisation: Pauline Payen
Crédits photos chambre 82 Windsor: Pauline Payen
Jean Le Gac
Interview à son domicile, Paris, novembre 2011.
Montage et réalisation: Pauline Payen pour l’hôtel Windsor
Crédits photos de la chambre 79 "Le Gac": Christine Basler
Jean Mas
Interview dans sa chambre au Windsor en Février 2011.
Interview originale et montage: Pauline Payen
Crédits photographiques de la chambre: Claude Valenti.
Crédits photographiques Festival du Peu 2013: Isabelle Dalbe.
Joel Ducorroy
Interview dans son bureau, Paris, 2011
Interview originale et montage: Pauline Payen / Hôtel Windsor
Crédits photographiques: Christine Bassler, Joel Durcorroy, Pauline Payen.
Henri Olivier
Interview dans son atelier, Nice, 2011
Interview originale et montage: Pauline Payen / Hôtel Windsor
Crédits photographiques: Christine Bassler, Henri Olivier, Guillaume Payen, Pauline Payen.